Dans son analyse des résultats du travail du SNATEM (Service National d’Accueil Téléphonique pour l’Enfance Maltraitée), Albert Criville (2004) est amené à se demander « si le phénomène des violences conjugales est un sujet qui mérite d’être exploré comme faisant partie du phénomène des mauvais traitements à enfants ; et quelles sont les chances pour que l’existence de violences conjugales dans une famille comporte aussi l’existence de mauvais traitements à enfants ».