Pourquoi consulter un psychologue clinicien ?

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1) – Écoute et suivi d’adultes, enfants ou adolescent en souffrance psychique.

 

Quand consulter un psychologue ?

Si vous avez  des questionnements sur la déontologie des psychologues, cliquez ici pour en savoir plus.

 

Il peut vous arriver à un moment donné de votre vie que votre mal-être ne vous permette pas de mobiliser vos ressources personnelles, ni le soutien de vos proches pour surmonter ce qui vous arrive. C’est à ce moment- là que vous pouvez solliciter le soutien d’un psychologue.

Quelques exemples de situations qui peuvent amener à consulter un psychologue par rapport à un vécu personnel, social, familial, professionnel.

  • Dans cette période de votre vie vous pouvez :
  • Souffrir physiquement. (Votre corps parle à travers ses maux) Vous pouvez souffrir d’une maladie grave.
  • Souffrir mentalement. Vous vous sentez seul, insatisfait, déprimé, angoissé, anxieux, stressé, votre humeur est instable, vous perdez confiance en vous… vous rencontrez des troubles au niveau de votre sommeil (cauchemars ou troubles de l’endormissement ou des troubles alimentaires …vous avez du mal à gérer vos émotions, colère, agressivité , vous présentez des troubles du comportement.
  • Vous vous sentez en difficulté dans la relation à l’autre avec présence de conflits, problème pour communiquer, pour trouver votre place…
  • Vous vivez un moment de vie important, difficile à surmonter seul : une grossesse, l’ arrivée d’un enfant, un mariage, un divorce, une séparation, une maladie d’ un proche, un deuil, un traumatisme . Cela peut aussi être en lien avec une modification professionnelle, une perte d’emploi, un burn-out.
  • Avoir la sensation de répéter les mêmes échecs.
  • Vous enfermer dans des situations malmenantes, malsaines…

Dans toutes ses situations, nous pouvons vous accompagner.

Pourquoi consulter un psychologue clinicien ?

 

S’il n’y a plus de doutes aujourd’hui sur le fait que la santé et le bien être psychiques soient tout aussi importants que la santé et le bien-être physiques, il apparaît cependant bien moins naturel de consulter un psychologue qu’un médecin.

Les représentations sociales couramment associées à la démarche de consulter un « psy » oscillent, d’ailleurs, entre tabou et tendance. La vulgarisation et l’intérêt toujours grandissant de la population à l’égard de la psychologie n’ont paradoxalement pas favorisé la disparition des vieux fantômes qui la hantent toujours. Planent toujours le soupçon de la folie, la honte de consulter. Plane également le scepticisme quant à la scientificité et l’efficacité de la psychologie. Franchir le pas de consulter un psychologue n’est donc pas une démarche facile, et ce d’autant qu’elle est peu valorisée socialement.

Loin d’être une mode ou une expérience mystique, la psychologie est une science et une pratique, dont l’objectif est la compréhension du psychisme, en termes de processus et de structure. Parfois vécue comme un aveu de faiblesse, la décision de consulter un psychologue est au contraire un premier pas vers la compréhension de soi.

Le vécu de mal-être ou de souffrance, le besoin ou l’envie de changement étant des sentiments très subjectifs, chaque « demande » adressée au psychologue au début d’un suivi est unique et originale. Si l’on peut recenser les motifs de consultations les plus fréquents, le psychologue appréhende chaque demande dans sa singularité.

  • Des événements vie.

Certains patients ressentent le besoin d’être étayé pour surmonter des épreuves particulièrement difficiles telles que : un deuil, un divorce, un licenciement, la maladie grave, l’annonce diagnostique d’une maladie chronique, une situation de rupture, etc…
Certains événements de moindre intensité dramatique mais de profond changement peuvent également être à l’origine d’un suivi psychologique, tels que une réorientation professionnelle, un burn-out, etc…

  • Un vécu de souffrance psychique.

La souffrance psychique peut emprunter d’innombrables voies d’expression, via des symptômes très différents :

  • Des mouvements dépressifs, un sentiment de tristesse, un abattement général, une perte d’intérêts et de goût pour la vie, des troubles de l’image de soi (obsessions physiques), des troubles de l’estime de soi (auto-dévalorisation, honte, culpabilité), etc…
  • L’angoisse, l’anxiété, le stress, des attaques de paniques, des phobies spécifiques, etc…
  • Des comportements embarrassants au quotidien : des troubles obsessionnels compulsifs, des conduites addictives (dépendance à une substance, dépendance affectives, dépendance au jeux vidéo, dépendance aux jeux d’argent, dépendance sexuelle, etc…), des troubles alimentaires (anorexie, boulimie), des troubles sexuels (perte de désir, frigidité, impuissance, etc…), de l’hyperactivité, etc…
  • Des somatisations répétées, des troubles somatiques récurrents dont l’origine biologique n’a pas pu être établie.
  • Des difficultés relationnelles, des difficultés de communication avec son entourage, de l’isolement, un vécu de rejet ou d’exclusion, etc…

  • Désir d’entreprendre un travail sur soi.

Un questionnement sur soi, sur son histoire, une recherche personnelle, l’envie de travailler sur un projet personnel peuvent également motiver une démarche vers un psychologue.

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